Posted 01/01/2014 by Sword in Culture
 
 

La Victoire du Phénix


« Il n’y a pas d’autorité humaine au royaume des chercheurs de la vérité, quiconque veut y jouer le censeur fait tonner le rire des Dieux.. » A. Einstein.

À l’approche de Noël, il est intéressant de nous orienter sur le thème de la spiritualité et de la conscience. Certains d’entre nous se sentent « reliés » ou « connectés » au plan divin, au Christ, à Dieu ou à la Vierge Marie. Qu’en est-il réellement de ce sentiment de proximité avec le divin ? Fantasme ou réalité ? Un livre en cours intitulé « La victoire du Phénix », à partir d’une expérience vécue, très personnelle, nous amènera dans quelques mois à découvrir une « autre » réalité, qui remet en question bien des acquis… A tout instant dans notre vie, nous pouvons entendre des voix, avoir des flashs de vie ancienne, sentir la présence du divin… apparitions, hologrammes, intuitions fortes, flashs, mais aussi télépathie sont des éléments particulièrement déstabilisants. En moins de quelques minutes, un « choc » peut changer notre « plan de conscience ». A la question existe-t-il de la vie dans l’Univers ? Existe-t-il une conscience qui orchestrerait… les dessins de Dieu ? Aucune vision globale n’existe qui puisse faire avancer la science car la science ne prend en compte que ce qui est calculable et mesurable. Le principe de la foi, de la croyance, ainsi que ses manifestations reste jusqu’à présent une énigme.

Dieu serait il une « illusion » ?

Qui ou qu'est ce qui est à l'origine de la création du monde ?

Qui ou qu’est ce qui est à l’origine de la création du monde ?

Deepack Chopra affirme l’existence d’une conscience pure qui est à l’origine du monde. Pour lui, la spiritualité offre à l’homme la possibilité d’être en contact avec cette Source universelle de la création. Il existerait selon lui « une réalité cachée » qui serait la conscience, ou l’Esprit. Il est intéressant de reprendre les éléments de Deepak Chopra sur les questions du Cosmos, de l’existence humaine et des croyances en une présence divine dans l’Univers. L’Esprit est présent en tout et constitue la source de l’information. A l’origine de la création de l’Univers, il (l’esprit) a fait don de la pensée à ses créatures pour leur permettre de découvrir progressivement les secrets du monde invisible. Chez l’homme au sens large du terme incluant la femme, la Pensée est l’expression de la conscience et utilise le cerveau pour interagir avec le monde matériel. Le cerveau a besoin de la conscience pour fonctionner mais la conscience n’a pas besoin du cerveau pour exister. La Science avance sur ses recherches sur la Conscience mais ne pourra trouver la Réalité cachée que par la pensée inspirée de l’Esprit.

Évolution vers un autre état de conscience

Ce XXIe siècle naissant est le douloureux héritier des siècles précédents, qui ont vu la raison déraisonnablement sombrer dans le dogme, couper l’homme de ses racines métaphysiques, pour l’amarrer au quai des certitudes définitives et intouchables. La Thermodynamique en son temps pensait avoir tout découvert, y compris le fonctionnement du monde. Depuis Galilée et Newton et Kepler et bien d’autres, les lois de la gravitation, puis de l’électromagnétisme, nous faisaient les égaux des Dieux, jusqu’à Descartes et ses certitudes et Laplace qui, présentant ses nouvelles théories cosmologiques à l’Empereur Napoléon qui lui demandait pourquoi il ne parlait pas de Dieu dans ses travaux, lui répondit que Dieu n’était pas nécessaire pour ses calculs… Puis un certain tournant se fit, au cours du XXe siècle, qui vit naître la relativité, repoussant bien loin les certitudes établies ; puis ce fut l’apparition des forces nucléaires que l’homme utilisa au profit de ses éternelles pulsions guerrières. A ce stade, la pensée de Rabelais « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » aurait dû éclairer ce monde « dérapant » sous la pression des découvertes. Mais le challenge et la compétition économique et guerrière entre les deux grandes puissances d’alors repoussaient bien loin les interrogations humanistes et spirituelles. Alors ce fut la Science au service de l’économie par l’intermédiaire de la technologie. L’innovation devint le grand mot à la mode et, certes, elle apporta et apporte à notre humanité des bienfaits matériels indéniables : mais, l’homme se réduit-il à un progrès qui ne serait que celui de la consommation et de son confort matériel ?

La science a fait un bond important par l’intermédiaire de la « physique quantique » chère à Niels Bohr.

La science a fait un bond important par l’intermédiaire de la « physique quantique » chère à Niels Bohr.

Depuis la fin du siècle précédent et le début de celui-ci, la science a fait un bond important par l’intermédiaire de la « physique quantique » chère à Niels Bohr. Relativité d’Einstein, Physique Quantique, voilà que les choses, la matière, devenaient mouvantes, changeantes, fuyantes, indéfinissables. Les mots, les noms scientifiques prennent une tournure « irrationnelle » ; Ervin Laszlo parle de mer subtile d’énergie, de champ cosmique, de champ Akashiques, reliant tout à Tout ; on reste, pour les esprits purement scientifiques, dans le probabilisme, on reconnaît que la science peut se tromper et se trompe et que l’Intuition est en amont, au-dessus, qu’on le veuille ou pas, de la découverte… Démocrite a-t-il eu besoin de voir, de mesurer l’atome pour être persuadé de son existence et du fait qu’il constituait l’Univers ? Or, le futur lui a donné raison ! On établit des théories sur le « début » du monde. Voilà le Big-Bang, la théorie des « cordes », on imagine des particules « constitutives » du cosmos et Higgs avec son « boson » est à la fête… Mais Planck gâche tout, sa constante n’admet pas d’imaginer un avant le Big-Bang ? Alors, avant, qui avait-il ? Le vide cosmique ? Mais alors comment et surtout pourquoi ? Mais si pourquoi, qui ? Et voilà comment après des siècles de modernisme soit disant « libérateur » nous redevenons prisonniers de l’éternelle question que les chercheurs Grecs antiques se posaient bien des siècles avant Jésus-Christ. Pourquoi, qui, et… l’Homme, dans tout cela ?

Comme nous l’avons vu précédemment, dès l’antiquité bien ancienne, Démocrite par la force de sa seule intelligence, décrétait que l’univers tout entier est constitué d’atomes. Puis il y eut le monde des idées, de Platon, le démarrage du rationnel, par Aristote, mais toujours avec une place et une interrogation vis-à-vis de l’Homme, de son rôle particulier, « privilégié » vis-à-vis de la « création ». La science Alchimique et Traditionnelle rejoignait tout à coup la science moderne, qui n’ose toutefois pas, elle, franchir définitivement le cap. L’homme serait-il à notre époque de grandes mutations, en voie de retrouver sa « place » dans le Cosmos, au sein du monde organisé des penseurs anciens qui voyait l’homme, microcosme, à l’image du Monde, macrocosme ? L’Homme, au centre du monde, avec des droits, des devoirs, vis-à-vis de règles cosmiques dont il dépend lui aussi et qu’il doit respecter par une Vie, un comportement adéquat. Mais alors, tout ce temps passé à la recherche d’un monde où l’homme ne serait qu’un ensemble de particules et d’énergies agglomérées serait-il donc…. du temps perdu en vain ? En réalité, l’Homme, comme il le sait, le pense, « l’intuite » depuis des millénaires, serait bien le fameux « fils » de Dieu, en quête de la « connaissance » ultime, d’un retour à des origines sans cesse masquées à ses yeux « humains ». Masquées ? Par Qui, Pourquoi ? Et en fait, sommes-nous donc « déconnectés » de ce fameux plan « métaphysique », (hors du physique, mot à mot) hors de notre perception directe, auquel nous appartenons donc aussi ? Y a-t-il un donc plan de conscience qui pourrait nous y « ramener » et, si l’on se conforme aux textes sacrés, ce plan serait-il un plan « Christique », qui serait tel que le retour du Christ passerait « par nous » et en nous, preuve s’il en était que nous sommes bien reliés, passerelles, grâce à lui, entre le ciel et la terre ? Mais comment parler de cette notion de plans, d’états de conscience qui nous amène sur cet autre « état de l’Etre », sur un autre état de conscience ?

Certains textes ésotériques nous parlent de concepts, de « dimensions », qui correspondent à des « étapes », des temps d’évolution-maturation de l’humanité.

Certains textes ésotériques nous parlent de concepts, de « dimensions », qui correspondent à des « étapes », des temps d’évolution-maturation de l’humanité.

Certains textes ésotériques nous parlent de concepts, de « dimensions », qui correspondent à des « étapes », des temps d’évolution-maturation de l’humanité. Il y a ainsi les 3e, (actuelle) 4e et 5e dimensions. Qu’en est-il en réalité ?Le plan de la troisième dimension est ce que nous pouvons appeler notre réalité visible : C’est un moment qui correspond à notre état de conscience qui fait que nous sommes persuadés que le temps est linéaire et que nous sommes uniques, seuls, isolés du reste du monde… La quatrième dimension est le passage entre la troisième et la 5e dimension, ce qui pourrait passer pour une « Lapalissade » mais est en fait un pallier intermédiaire (plus court dans le temps que les autres dimensions) dans lequel les humains prennent conscience de ce qu’ils « sont ». Notre conscience évolue lentement, ce qui nous amène à modifier régulièrement nos concepts de « croyance », en y intégrant tout l’ensemble évolutif de la création, avec un sentiment toujours plus croissant de faire partie de ce grand tout qu’est l’Univers. Ce sentiment d’appartenance globale est la conséquence du concept d’incarnation, qui est le nôtre, avec un plan physique vibrant au rythme moléculaire et un plan de l’âme, connecté au plan spirituel. La cinquième dimension est un état de « conscience unitaire multidimensionnel ». La perception intime de ce plan amène tout être (au sens sublime de l’Etre), à la compréhension d’être en lien avec l’Univers et ses forces ; on fait alors partie d’un tout, on est capable d’intégrer le fait que tout est relié à tout et que nos pensées ont une influence non seulement sur la matière, mais aussi sur les « éthers ». On prend alors conscience de l’influence que vont avoir nos pensées sur les autres et sur notre environnement. Penser, c’est pouvoir imaginer puis créer. Ainsi, l’homme participe par le pouvoir de sa pensée, à la création, qui est perpétuelle évolution. Une question, la question « existentielle » découle du raisonnement précédent :

L’homme a-t-il une place « particulière » dans l’Univers ?

La plus grande interrogation de l’Homme n’est seulement pas de savoir pourquoi il est là, mais justement pourquoi il peut et a la capacité de se poser cette question ! Sans cette capacité qui lui est spécifique, pas de science, pas de religion, pas de « connexion » possible. Cette capacité « d’interrogation » nous amène à réfléchir un peu plus intensément sur les liens, sur nos « relations intimes », avec le cosmos. Tout démontre, à la lumière de nos capacités à analyser, voir, comprendre, « intuiter » que, oui, définitivement, nous sommes bien « connectés » ! Il est intéressant de se souvenir que, déjà, pour Anaxagore, précurseur de Démocrite, le Cosmos était géré et animé par une intelligence ordonnatrice supérieure. Si l’on considère cette intelligence comme « Energie et Vibration très particulière, sortant du champ de la lumière, de l’électromagnétisme », l’homme serait dans ce cas un récepteur, une caisse de résonance très particulière, apte à recevoir des informations, des messages, qui, venant pénétrer son imaginaire, son mental, s’offrent ainsi à sa capacité de raisonnement. Les « informations » ainsi transmises, très souvent par images « interposées », (hologrammes, images symboliques, etc. ) nous parviendraient en parcourant ce que l’on nomme « l’Ether », dans ce sens très particulier qui concerne les aspects ou plans métaphysiques non connus, non vérifiés, non mesurés scientifiquement. Ici le terme éther est employé comme un terme générique désignant « l’océan » de toutes les énergies étroitement reliées et qui constituent le corps énergétique de notre planète et relie tout ce qui existe dans tout l’Univers. A noter que le corps éthérique ou énergétique de chaque être humain fait intégralement partie du corps éthérique de la planète.

Quelle est la véritable place de l'Homme dans l'Univers ?

Quelle est la véritable place de l’Homme dans l’Univers ?

L’heure de la conscientisation et de l’information.

Les informations, messages, présents dans le cosmos, se transmettent par « vibration » directe, en « résonance » avec notre esprit, mais il faut bien à un moment donné passer de l’état « métaphysique » de ce message à une réalité concrète, la nôtre – notre perception humaine – pour pouvoir l’exploiter. L’Homme est constitué d’une partie Physique, (visible, matérielle) mais aussi d’un corps énergétique (les énergies praniques), d’un corps psychique, mental et d’un corps dit de mental supérieur, siège de l’âme, dans le sens de l’esprit supérieur. Les informations, messages, présents dans le cosmos, sinon dans notre univers de vie proche, se transmettent par « vibration » directe, en résonance avec notre esprit ; pour passer de l’état « métaphysique » de ce message à une perception concrète, au siège de notre raison humaine, afin de pouvoir l’exploiter.

Quel est le processus ?

Il est dit dans certains enseignements que le lieu de passage des « informations » spirituelles est le chakra supérieur situé au sommet arrière de la tête, sur la scissure inter-pariétale (en sanscrit « Sahasrara »). De là, par « transposition » et par l’intermédiaire de certains « atomes de valence » l’information pénètre le cerveau, comme le fait une information classique en utilisant la voie neuronique, lorsqu’elle est  perçue et transmise par les capteurs que sont les oreilles, les yeux, etc. Nous sommes ainsi passés d’un plan « énergétique métaphysique » au plan du « réel ». En conséquence de tout ceci, comment imaginer, alors que nous savons que nous sommes connectés en permanence sur notre « chemin de vie », de mission, de responsabilité, avec tout notre libre arbitre, que nous ne puissions agir de sorte que la science, la philosophie, les idéologies prennent enfin en compte ce critère fondamental de l’homme ? Car lorsqu’il y a « intervention » de « là-haut » et que nous recevons des messages, il est important de les reconnaître, et dans la mesure du possible, de les retransmettre à des fins d’évolution…. Il faut savoir que tous ces « messages » sont, d’ores et déjà, « reconnaissables » par ceux qui connaissent la «  Grande tradition originelle » qui est Une et intemporelle… Découvrons ensemble un témoignage intéressant sur cette guidance qui prend comme symbole celui du faucon Horus, support de la tradition primordiale égyptienne et hébraïque, qui guide vers Dieu. A titre d’exemple, le Témoignage ci-dessous.

1997 à Villeparisis. Une pierre noire s’apprête à changer le cours de ma vie

La Pierre noire est le support de la grande tradition romaine, grecque, mais aussi orientale. Souvenons-nous alors de l’épisode mythologique de Rhéa et de Saturne concernant le sauvetage des enfants de la Déesse, par le biais d’une pierre noire à la source de la tradition, l’aigle est l’emblème de Zeus Jupiter. En Mai 1997, une personne m’apporta une pierre noire alors que je suis à Villeparisis. Lorsque je la pris dans mes mains, immédiatement, un étrange sentiment m’envahit qui me fit penser : noir = Sacré. Pourquoi ? Cette pensée soudaine me paraissait incompréhensible. Puis la réflexion se poursuit en moi : Noir,comme la Pierre noire sacrée de la Kaaba. Je l’observais de plus près, sous toutes ses coutures. Elle était magnifique, fascinante. Aussi, au lieu de m’en débarrasser comme d’une pierre ordinaire, je la conservais comme porte-bonheur, en la plaçant dans une pièce de la maison où moi seule circulait : la buanderie. Lieu peut-être peu poétique, certes, mais qui est bien « à moi ». Cette pierre porte-bonheur restait ainsi à mes yeux bien visible. Durant cette même période, je ne sais par quel phénomène, le nom de Villeparisis « trottait » sans arrêt dans ma tête. C’est frustrant de se dire qu’un nom ou qu’un endroit évoque pour nous quelque chose, mais qu’il y a une énorme porte blindée, au niveau du cerveau, que l’on n’arrive pas à ouvrir. Ce n’est que deux ans plus tard que je vais découvrir un petit oiseau que je n’identifie pas de suite mais que je reconnais cependant. C’est Horus ! Le petit faucon « symbole » de la tradition égyptienne, fils d’Isis ; Isis est la Vierge à l’enfant des anciens temps, la déesse universelle aux fonctions multiples qui agit dans tous les domaines, aussi bien dans le monde des vivants que dans l’au-delà.

5 )

Présentation de la pierre noire avec Horus.Sur la pierre existe deux faces. Un coté loup et un coté aigle avec petit faucon.

6 )

Le réveil de « la fin des temps » qui amène le lecteur à la compréhension des vies antérieures et la découverte de l’immortalité de l’âme.

Le grand réveil compréhension.

Le grand réveil compréhension.

Mon histoire, mon réveil. Mon histoire commence réellement les 11-12-13 Août 1999, les jours anniversaire d’Isis, jour de la rencontre entre la lune et le soleil. Après avoir entendu des voix, vécu des «  visions » et reçu des éléments sur des pierres et des photos, j’ai le sentiment étrange qu’il existe une conscience qui œuvre « derrière le miroir » et qui s’adresse à moi. J’ai le sentiment que cette « présence » m’oriente vers le côté féminin-divin de la spiritualité et me parle de l’Égypte ancienne. Au cours de mon parcours de recherches et de réception multiples de ces divers messages, je vais pouvoir valider cette hypothèse et trouver sur mon chemin des éléments qui vont me faire découvrir une autre réalité.

11 août 1999 : dernière éclipse lunaire du millénaire

Le 13 août, soit deux jours après, le journal « Le Point » sort un hors série : « La Gaule Romaine », le sujet en est : Jules César, Guerre des Gaules, « Tribu des Parisis ». Une phrase va déclencher tout un processus de recherches personnelles, car la corrélation avec la tribu des Parisiis, Julius Caïus César et Villeparisis m’apparaît tout à coup. La Cité des Parisiis serait-elle dans une autre île disparue ? Peut être car le cours du fleuve a souvent changé. Quelques jours après… en Pays basque. Des « flashes » sous forme de projections d’images m’arrivent. C’est une époque reculée. La tenue vestimentaire me donne des indications sur le lieu de ces visions : Grèce, Égypte ? L’homme que je vois est vêtu d’une tunique étrusque que portent tous les généraux de l’empire romain. C’est un personnage puissant. Mes yeux sont grand ouverts : ce n’est pas un rêve et je suis bien éveillée. La femme qui est à ses côtés porte une robe légère, drapée, laissant voir une épaule dénudée. Un bracelet d’or en serpentine à tête de serpent entoure la partie supérieure de son bras. Un chien blanc les accompagne. Les deux personnages sont en promenade. Les yeux de cet homme ont une expression pénétrante, exceptionnelle, magnétique. Ce qui me frappe d’abord, c’est que cette femme a quelque chose qui me paraît familier, elle me rappelle quelqu’un de mon entourage, mais… c’est moi ! Quant à lui, ses yeux, je les connais parfaitement, j’ai dû les croiser dans cette vie, mais où ?Il a une allure noble et un visage aux traits tendus. Alors, cette femme et ce bracelet en serpentine, serait-ce bien moi, dans un autre temps?

C’est à mon retour de vacances, après avoir lu cet article de journal, en cherchant la tribu des Parisis et après avoir eu ces brefs flashes de vie ancienne à Chiberta, en pays basque, que je me remis en question très fortement. Pourquoi suis-je obsédée par ce nom, Villeparisis, « Ville des Parisis » puis Isis, Isis… ? Mes « intuitions » et ma raison s’affrontent. D’un côté ma raison qui me dit : « abandonne ! Ce n’est qu’une impression ! Lâche prise, ce n’est qu’un nom », (sinon une obsession) et de l’autre bord, quelque chose me dit : « Non, il faut que tu ailles chercher la réponse ! » Au fond de moi une petite voix intervient : « suis ton intuition, ton ressenti, car si tu ne trouves pas la réponse, tu passes peut-être à côté de quelque chose de très important »… Un peu plus tard, un épisode, au Louvre, me guidera… Alors que je faisais des recherches dans la librairie du Louvre, et que je cherchais les visages de ceux qui me sont apparus dans mes visions, un livre tomba à mes pieds. Cléopâtre, édition du Rocher. Hasard ? Tout va me mettre indirectement, comme on le verra ci-après, sur les pas d’Isis et d’Horus le grand faucon qui guide vers Dieu. Isis est la Vierge à l’enfant des anciens temps ; elle est connue également en tant que lumière initiatrice. Elle est l’image de la déesse mère, dite aussi âme universelle. Horus est son fils connu également sous le nom d’Houroun, ou encore d’Harmakhis,ou d’Horus de l’horizon. Il est Fils de Dieu, intermédiaire entre le ciel et la terre en lien avec le site de Gizeh et la terre de Canaan, prophétisée « Terre de Paix » à la « fin des temps ». Il est appelé aussi Par OO. – existe et se cache dans le grand des roseaux – Champ Oméga ? Le faucon des origines sera remplacé sous les Ptolémée par le symbole de l’Aigle.

Première manifestation sur photos. Michas – 31 décembre 2003 – 12 h environ.

C’est en 2003 lors de ma visite à la grotte de la Vierge à l’enfant puis à l’église de Michas, dans le sud de l’Espagne, lieu de manifestations de la vierge – qui est tel notre Lourdes en France -, que le premier signe tangible de manifestation divine me sera donné par le biais de photos, suite à des voix qui m’arrivent mentalement : « Jérusalem Bethlehem », deux fois. Je photographie alors ce qui se présente à moi. Au développement apparaîtra une petite croix lumineuse. Cette petite croix est des plus importante. L’apparition de cette petite croix se manifesta en 312 au roi Constantin.

Photos de Michas – Espagne - apparition d’une petite Croix lumineuse.

Photos de Michas – Espagne – apparition d’une petite Croix lumineuse.

Deuxième manifestation sur le plateau de Gizeh en Égypte

En février 2005, un autre événement me guide sur la tradition égyptienne. Lors d’une visite à Gizeh, je photographie le grand Sphinx. M’arrive alors un « hologramme ». Une chaise en forme de h. Est-ce le souffle du divin qui se manifeste à moi ? Dans tous les cas je sens qu’il s’agit d’un élément important. Cet élément va m’amener à confirmer mon ressenti qu’une conscience ou Âme esprit au féminin œuvre de l’autre coté du miroir. Isis est la personnification du Trône.

Hologramme de la chaise ou du trône.

Hologramme de la chaise ou du trône.

Il est question du h « hé » et du souffle divin qui s’associe à une naissance. La naissance se fait par la déesse Héket qui préside aux naissances royales. Le héka est le sceptre de pharaon et le hé-kalou le temple de la naissance divine où se manifeste le dieu du souffle sacré « Shou » – en lien avec les deux lions de l’Horizon, Shou et Tefnout, symbolisés par deux lions dos à dos. Tous deux portent physiquement et communément Ré le Soleil, sur leurs épaules. Chaque jour, ils sont chargés de mettre au monde le soleil qui de son coté, leur a donné naissance. Cette contradiction apparente s’explique par le fait que l’astre solaire ne se révèle que par l’intermédiaire de ses enfants. Isis est la dame de l’horizon en lien avec son fils Horus. Horus prend différents noms, en lien avec le site de Gizeh il est Harmakhis, « Horus de l’Horizon » dont le nom est aussi Houroun. En Egypte ancienne – en lien avec Canaan – Horus est représentant des Dieux mais aussi « fils du ciel et de la terre » et « frère des étoiles impérissables ». Pourquoi le site de Gizeh est il important ? L’histoire ésotérique du site veut que Gizeh serait « une porte du ciel » en lien avec la voie lactée. Orion et Sirius sont souvent cités dans la culture orientale et africaine (Sothis Sirius est l »étoile d’Isis) et font partis de l’histoire et légendes du Mali, de l’Éthiopie etc…

Autre manifestation qui s’en suit quelques jours après

Il est question de « Chrestos Aquila » – Chrestos = Christ. Aquila = Aigle. A mon retour sur Paris, alors que je photocopie l’empreinte d’Horus, le petit faucon de la tradition égyptienne se déforme et prend à ma plus grande surprise le visage du Christ : Jésus sous la forme d’Horus-Christ « Chrestos Aquila » qui prend sa manifestation physique à travers le concept égyptien du bâ oiseau. Le principe de manifestation en Égypte ancienne sur le plan physique, se fait par le biais du « bâ oiseau » (oiseau à tête d’homme). L’Aigle (ici le faucon) mène vers Dieu et fait office de Guide…

Empreinte d'Horus.

Empreinte d’Horus.

C’est ainsi que je vais comprendre le principe de manifestation qui peut nous arriver sur le plan terrestre grâce à l’énergie du Christ. L’arrivée du « Sauveur Christ » nous parle amour, fraternité, paix et sauvetage de l’humanité. Canaan est « prophétisée » terre de Paix, c’est d’elle que nous reviendra le guide sauveur – qui n’intervient jamais dans un contexte guerrier. Horus Houroun, en lien avec le Site de Gizeh, principe guérisseur et salvateur qui de façon tardive sera assimilé à Hémen, patron de Mo Allah, Ville de haute Égypte. Bon nombres de petites pierres tout au long de mon parcours me permettront tel le petit poucet de retrouver le chemin de la grande et belle maison, éléments que vous retrouverez dans mon livre.

Retour des oiseaux sur l’arbre aux multiples branches.

En fin de Parcours après bien des recherches et des liens que je sais faire alors que je n’ai jamais rien appris de l’Égypte ancienne dans cette vie, je vais trouver sur mon parcours deux autres éléments qui m’apparaissent importants à vous transférer afin de vous faire comprendre que le hasard n’a plus de place dans mon histoire. Après l’épisode de Gizeh, bien des années après, me sera renvoyée par le biais de ma pierre noire sur deux prises de vues, des éléments qui ne se présentent que très rarement.

Apparition d’un héron Bénou

Le héron Bénou – que la tradition asiatique mentionne en tant que « grue », est l’oiseau Anqa « phénix » de la tradition orientale. On peut le découvrir sur la « tombe » QV 66 de la reine Néfertari dans la Vallée des reines. Au moyen Empire égyptien, le Bénou prend l’aspect d’un héron cendré (ardea cinera)… Il est alors considéré comme le « Ba » (manifestation) du dieu solaire Ra d’Héliopolis. Le héron bénou n’apparaît que tous les 500 ans et il ne peut n’y en avoir qu’un dit la légende. Autrefois il se serait présenté à Moïse…

Lé héron Bénou.

Lé héron Bénou.

Une main ouverte en signe de cadeau avec… une poire !

La main est symbole de protection divine et la poire le symbole de la félicité, de la royauté et aussi de longévité. Les monarques sacrés à Reims se voyaient remettre une coupe de champagne et une poire. Malgré la complexité apparente de tout ceci, apparaît un message fondamental du retour au principe Christique salvateur, tel qu’il existe notamment, sur une palette du Louvre que je découvre lors de recherches. Je vous fais découvrir celui qui nous arrive par delà les eaux cosmiques… sur le plan terrestre. « Horus (Christ) Sauveur, combattant sur son Cheval blanc le  « crocodile » associé au fléaux… » nb : le crocodile est également « une image » du dieu Saturne. Horus est vêtu comme un soldat romain. Il est entièrement de profil, sur un cheval traité également de profil mais avec la tête de face. Représentation sculpture du Louvre datant du IVe siècle ap. J.-C. Les deux « visages » d’HORUS : Horus possède deux « visages » : un sous forme de petit oiseau, il est alors en lien avec Isis en tant que « fils d’Isis qui vient de naître », l’autre visage est celui du faucon -épervier. A la période ptolémaïque, le faucon sera remplacé par l’Aigle.

Horus sauveur à Cheval combattant le crocodile, symbole des fléaux. Img Cattaneo desenio – Dessin à la plume fait à partir d’une sculpture exposée au Louvre. Support en L.

Horus sauveur à Cheval combattant le crocodile, symbole des fléaux. Img Cattaneo desenio – Dessin à la plume fait à partir d’une sculpture exposée au Louvre. Support en L.

Retour à une « autre » réalité après avoir suivi fil d’Ariane…

Il faut bien appréhender toutes les informations « transmises » et le fait que cela se passe ici ou là, que tel ou tel personnage apparaisse comme des indications « symboliques », parfois issues de « mémorisations  antérieures » issues d’une autre vie n’est pas l’essentiel car seule compte l’action. Ce message que je « synthétise » ici pour vous amis lecteurs et lectrices est l’expression de la « nécessité du passage », qui somme toute est nécessaire, avec l’appui de la force divine du Christ, à un autre plan, pour accéder à une autre dimension humaine, dans une vibration cosmique d’amour et de responsabilité (tout à fait conforme, d’ailleurs, au « sas » que représente la quatrième dimension). Pour certains, l’heure est venue de faire évoluer les consciences et d’intégrer la notion d’énergie christique qui est présente dès l’origine des temps. Oui devons évoluer ensemble vers un autre plan de conscience. Faire évoluer les consciences, c’est aussi transmettre des éléments qui aident à comprendre quel sont les buts de notre passage sur cette planète Terre. Et il est grand temps de prendre en compte l’Ame ; l’immortalité de l’âme, et la notion de retour sur Terre et de karma… A la question : Est-il possible, sans formation particulière, d’approcher des éléments de la grâce divine ? Est-il possible que nous soyons tous porteurs de la dimension christique ? Et Sommes-nous d’essence divine ? La réponse est claire, simple, limpide. C’est une évidence ! L’essence christique existe dans toute la création. Elle ne demande qu’à être redécouverte. Il est question d’âme pure, de conduite adéquate, et de connaissance qui passe par une « initiation ». Seule l’initiation permet de retrouver notre chemin.

Au travers de mon expérience et des preuves qui vont se révéler physiquement à moi, preuves que je vais retransmettre dans mon livre « la victoire du Phénix », la perception des éléments de « mémoire de l’âme », qui restent acquis de vie en vie, parce qu’ils appartiennent au plan de l’immortalité, se fait plus claire. Ces « mémoires » nous sont acquises d’incarnation en incarnation, mais ne remontent quasiment jamais à l’état de conscience. Il faut pour prétendre y accéder un jour, un très lourd et très long travail sur soi, à travers des épreuves de vies renouvelées. Seul le symbole peut parler et rappeler des choses à l’esprit, pour ceux qui en connaissent le sens, car il est le langage qui transmet la mémoire des connaissances à travers les siècles, langage que nous avons oublié. Ici est par exemple, la compréhension du mythe de Perséphone, Dame Nature, qui se réveille à chaque printemps, amnésique, et recommence éternellement le cycle des vies, de l’obscurité des enfers aux lumières renaissantes du printemps : Retrouvons un grand principe « quantique » qui existe partout dans l’Univers.

Afin d’associer les découvertes scientifiques aux connaissances de la Tradition, qui est 1, rappelons simplement que, dans le cadre des découvertes de la physique quantique, nous savons que lorsque deux particules ont été en contact elles ont acquis une espèce de « mémoire d’action » qui fait que si elles sont séparées, même à des milliers d’années lumières l’une de l’autre, elles réagissent instantanément, solidairement, à une interaction qui toucherait l’une d’entre elles. Et ce, d’une façon totalement instantanée, donc supérieure à la vitesse de la lumière… Alors ? L’instantanéité fait partie, lorsqu’il y a « reconnaissance », quasi « duplicité » entre deux éléments, de lois du Cosmos… Nous sommes partie intégrante de ce Cosmos, il est donc naturel que des « informations atemporelles » puissent à tout instant, à notre « insu » venir se présenter à nous parce qu’une « âme sœur » en a décidé ainsi. C’est cette « reconnaissance » et cette « cohérence » et synchronicité d’éléments transmis qui me semble t-il, devrait permettre à la science d’avancer. En fait, comme le disait un ami : « Il n’y a rien de complexe ou de compliqué, il y a que des choses que l’on ne connaît pas ».

« Il n’y a rien de complexe ou de compliqué, il y a que des choses que l’on ne connaît pas ».

« Il n’y a rien de complexe ou de compliqué, il y a que des choses que l’on ne connaît pas ».

Dans ce sens, la Science doit s’interroger, arrêter de faire l’autruche et s’ouvrir à tous les voies de la connaissance, rationnelle autant qu’irrationnelle. Nous ne sommes pas « passifs » et observateurs de ce qui peut et doit arriver. Tout ne peut et doit arriver que parce que, dans cette quatrième dimension naissante, nous appliquerons intrinsèquement les règles et les « lois » portées par les « énergies » cosmiques de lumière qui nous font vibrer et qui nous disent « Amour, respect, enthousiasme (en-théos, Dieu en nous), joie et conscience d’être les hommes et femmes sur la route d’un destin cosmique commun. Travaillons tous ensemble à faire évoluer l’Humanité vers un autre plan de conscience. Je terminerai en citant Rabbi Alon Goshen-Gottstein : « Ne demande pas : « Qui a raison ? » Demande : « Que puis-je apprendre de toi ? » »

Olivia Alexandra Plendl, auteure


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